L’originalité de « Charlie Chaplin. Le Rêve », le livre d’Adolphe Nysenholc, réside dans la façon dont il mime les productions de l’Age d’Or du cinéma muet, dans un va et vient constant entre diverses silhouettes, entre divers visages, entre Chaplin et les personnages qu’il joue, au point que le lecteur déambule dans un monde de doubles.