Dans La Captive, le corps d’Ariane est l’objet d’une traque continue. Chantal Akerman entreprend ainsi de donner à voir ce qu’est un personnage qui disparaît, vivant écrasé par le poids du contrôle et des dispositifs de pouvoir qui pèsent sur lui.
Quelque chose s'est passé : un craquement dans la perception, une affection dont il faut raconter l'histoire, une expérience cinématographique à partager. Il y a ici autant de rayons verts que de rencontres et d'efforts d'écriture pour en conserver la trace.