Une part importante de la critique semble être aujourd’hui de moins en moins favorable au cinéma de Damien Chazelle. Pourtant, c’est bien une œuvre qui prend ici forme, une forme aussi nette que complexe à travers des motifs et des enjeux, narratifs et visuels, partagés au moins par ses trois derniers films : La La Land, First Man et Babylon. La création s’y réfléchit mélancolique – la perte, l’effacement d’un genre, la ruine même sont ses moteurs paradoxaux.                    
                
 
      		